Trois actions simultanées en une journée, la CGT Intérim dénonce le mépris systémique envers les intérimaires à La Poste et Mowi, et exige que tout rentre dans l’ordre.

La CGT Intérim a mené des actions à Montluçon, Moulins et Boulogne-sur-Mer pour combattre le non-respect des droits des intérimaires. Une fois de plus, les agences d’intérim et leurs clients préfèrent fermer les yeux.

À Montluçon et Moulins (La Poste) ainsi qu’à Boulogne-sur-Mer (Mowi), la CGT Intérim s’est mobilisée le 17 Septembre pour dénoncer les pratiques scandaleuses qui bafouent l’égalité de traitement des intérimaires. Ces travailleurs, invisibilisés et réduits à une main-d’œuvre corvéable, sont victimes de conditions indignes, en violation flagrante du Code du travail.

Face à l’indifférence des agences d’intérim locales, qui feignent l’ignorance pour ne pas compromettre leurs contrats juteux, la CGT Intérim a pris position.
Les réactions des agences, toujours les mêmes – « Nous ne savons rien, c’est hors de notre contrôle » – illustrent l’ampleur de ce cynisme institutionnalisé.

Mais la CGT ne se contente pas de dénoncer : elle exige des correctifs immédiats.
À travers son action, elle entend faire respecter les droits des travailleurs, là où certains préfèrent le silence. Justice sera faite.
Un article nous a été consacré sur une radio locale et un journal local de l’Allier, là où le directeur de La Poste n’était (sûrement un hasard) pas présent ce jour pour nous recevoir.