Mort d'un Salarié Intérimaire sans-papiers délégué par CRIT Intérim... Dans l'indifférence comme tant d'autres qui ont succombé. Déni de réalité pour la direction qui organise l'assemblée générale des actionnaires à Saint Ouen (93) à 10h00 Vendredi 10 Juin. La CGT Intérim appelle...
Jeudi 4 février 2021,
14h - Place de la République – Paris
Pour la province, rapprochez-vous des Unions locales CGT
Les salarié-e-s intérimaires sont les grands perdants de cette crise sanitaire et économique. Depuis mars 2020, 1 million d’intérimaires ont été victimes d’un gigantesque plan de licenciements qui ne dit pas son nom.
Jeté-e-s sur le bas-côté comme la peau d’un citron après avoir été pressé, les intérimaires nous sommes devenus la proie facile du système capitaliste qui nous condamne à la misère.
Pour celles et ceux encore en mission : le refus de primes Covid, le non-paiement des heures supplémentaires, le salaire au SMIC, les accidents du travail sous-déclarés, voire contestés, l’absence d’équipements individuels de sécurité complet, le manque de formation à la sécurité, l’inexistence de visites médicales, le chantage et les pressions, les procédures disciplinaires montées de toutes pièces pour accélérer les licenciements, l’attaque brutale du patronat de l’intérim, PRISM’EMPLOI, contre nos droits à la protection sociale de branche,...
Dans cette période extrêmement anxiogène, les salariés intérimaires subissent de plein fouet une surexploitation exacerbée et impitoyable d’un niveau jamais atteint ces dernières années.
La gestion INHUMAINE des salarié-e-s intérimaires en mission ou au chômage, pratiquée par un grand nombre d’entreprises utilisatrices, les sanctions et trop-perçus imposées par la Direction de Pôle emploi, comptent sur la bienveillance et la complicité du gouvernement et des sociétés d’intérim.
La situation sociale particulièrement dure que vivent aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de salarié-e-s intérimaires mais également, les autres travailleur-se-s précaires, les embauché-e-s, les retraité-e-s, les étudiants, et les privé-e-s d’emploi, nécessite une mobilisation d’ampleur.
Dans l’entreprise comme dans la rue, combattre les licenciements et les fins de mission, revendiquer de meilleurs salaires, de meilleures conditions de travail, les 32h, faire face aux fourberies et à la répression des sociétés d’intérim et des entreprises utilisatrices, c’est se battre contre un système qui veut nous rendre esclaves.
Se mobiliser massivement permet d’amplifier le rapport de forces et de renverser la situation.
Uni-e-s et rassemblé-e-s dans les luttes, nous faisons bouger les lignes, nous nous faisons respecter !
Faites-vous entendre et mobilisez-vous !
A télécharger
Vous avez entre vos mains un guide sur l'essentiel de vos droits en tant que salarié-e intérimaire, que vous soyez en contrat de travail temporaire classique (CTT) ou en CDI Intérimaire (CDII).
En un seul coup d’œil, vous aurez des informations pour vous défendre face aux pressions et abus de patrons-voyous et d'agences fourbes et courtoises.
Vous avez une question sur vos droits ?
Contactez vos représentants CGT dans les sociétés d'intérim.
S'il n'existe pas de syndicat dans la société qui vous envoie en mission, contactez la CGT INTÉRIM.
La CGT, une force toujours à vos côtés !
Vous êtes intérimaire en mission ? Vous êtes commercial-e ou administrative en agence ?
Sachez-le ! Les élections professionnelles arrivent chez SUPPLAY !
Face aux attaques contre les travailleur-ses, pour résister et peser, la CGT a besoin de montrer sa force.
Les élections professionnelles sont une excellente occasion pour se faire respecter. Les élections professionnelles sont une arme redoutable.
Dès maintenant, que vous soyez intérimaires, CDI-Intérimaires ou permanents en agence, si vous souhaitez vous engager sur les listes CGT chez SUPPLAY, faites vous connaître auprès de la CGT en appelant au 07 68 51 95 97 ou en adressant un mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Nos collègues intérimaires qui sont chez START PEOPLE, MANPOWER, RANDSTAD ou ADECCO, ont déjà voté et sont majoritaires dans les Comités sociaux et économiques (CSE). En tant qu'élu-e-s de la CGT, ils font respecter les droits sociaux de l'ensemble des salarié-e-s et font avancer leurs droits.
Dès maintenant, si vous vous sentez motivés pour faire bouger les lignes, portez-vous candidat-e auprès de la CGT SUPPLAY.
PLUS NOMBREUX SERONT LES INTÉRIMAIRES ET LES PERMANENTS D'AGENCE À VOULOIR S'ORGANISER, PLUS DE CHANCES ON SE DONNE POUR CONSTRUIRE LE RAPPORT DE FORCES ET LA CONQUÊTE DU CSE.
APPEL A LA MOBILISATION
Le 21 juillet 2020, des salarié-e-s intérimaires soignants avaient répondu à l'appel à la mobilisation de la CGT INTERIM devant le ministère de la santé. Une délégation avait été reçue par l'un des directeurs de cabinet du ministre.
Les intérimaires ayant travaillé en tant qu'aides soignants, infirmières, médecins, administratifs ou dans les services de maintenance dans le secteur du médical sont exclus de l'égalité de traitement depuis le 17 mars 2020. Pire encore, l'Etat a validé une loi qui permet de le faire. C'est inacceptable !
Un tel mépris de la part du gouvernement envers les salarié-e-s intérimaires est un affront aux travailleurs qui sont les plus fragilisés.
Les salarié-e-s intérimaires ne sont pas des salarié-e-s de seconde zone !
La CGT INTÉRIM n'accepte pas cet apartheid social !
Nous exigeons :
- L’égalité de traitement sans conditions d'ancienneté !
- Le versement de la prime et la revalorisation de nos salaires !
- L’embauche des intérimaires qui le souhaitent !
- Le renforcement en emplois et matériels de qualité dans les établissements de santé
- L’arrêt de toutes les fermetures d’établissements, de services et de lits
LA CGT INTÉRIM appelle à un rassemblement
le JEUDI 1er Octobre à 14H
devant le siège de l'APHP , 3 avenue Victoria à Paris 1er
APPEL A LA MOBILISATION
DEVANT LE MINISTERE DE LA SANTE
LE « SEGUR » DE LA SANTÉ DONNE LE COUP DE GRACE AUX TRAVAILLEURS INTÉRIMAIRES
NOUS REFUSONS D’ÊTRE LES DINDONS DE LA FARCE !
Les travailleurs de la santé expriment avec force leur colère pour obtenir plus de moyens matériels et humains et des augmentations de salaire.
Depuis le début de la crise sanitaire, les salariés intérimaires en mission en tant qu’infirmier-ères, médecins ou aides-soignants, sont qualifié-e-s par certains directeurs et anciens directeurs de l’ARS comme des « mercenaires ». Mais leurs propos vont bien plus loin. Dans une note de service du 4 juin, les ARS demandent que les intérimaires soient explicitement écartés de la prime COVID ! Suite au SEGUR de la Santé, le ministère enfonce le clou en privant de toute augmentation les intérimaires employés dans les établissements de santé !
Que ce soit dans les EPHAD, Hôpitaux, ou autres établissements de santé, les salarié-e-s intérimaires sont en première ligne, coude à coude avec leurs collègues agents, pour sauver des milliers de vie.
NON ! NOUS NE SOMMES PAS DES MERCENAIRES ! NOUS SOMMES DES TRAVAILLEURS !
Nous exigeons :
- L’égalité de traitement tel que le prévoit le Code du travail !
- Le versement de la prime et la revalorisation de nos salaires !
- L’embauche des intérimaires qui le souhaitent !
- L’arrêt de toutes les fermetures d’établissements, de services et de lits
LA CGT INTÉRIM appelle à un rassemblement
MARDI 21 JUILLET 2020
A 11h30 devant le Ministère de la santé,
14 avenue Duquesne à PARIS
(métro Saint-François-Xavier, ligne 13)
La CGT INTERIM vous présente le dernier hors série de son journal La Mèche.
Vous y trouverez des reportages bien fouillés sur les conditions dans lesquelles les intérimaires sont exploités dans la RATP et comment le chômage fait des ravages dans l'aéroportuaire.
Bonne lecture et diffusez autour de vous !
APPEL À MOBILISATION
Depuis le début de la crise sanitaire, 600 000 salarié-e-s intérimaires ont été jetés à la rue.
Aujourd’hui, des centaines de milliers d’intérimaires dont les contrats devaient reprendre ou débuter dans les entreprises utilisatrices, sont également condamné-e-s au chômage et à la survie.
L’hécatombe sociale dont nous sommes victimes est aggravée par la casse de l’assurance-chômage imposée en 2019 par le Gouvernement.
Alors qu’auparavant, il suffisait de travailler 4 mois de travail sur 28 pour être indemnisé, avec le durcissement des règles de l’UNEDIC, il faut désormais avoir travaillé 6 mois sur 24. Et pour recharger nos droits au chômage, on nous exige 6 mois de travail au lieu de 1.
Avec la discontinuité des missions et les périodes de chômage, cette mesure avait déjà des impacts dramatiques avant la crise sanitaire. C’est la perte ou la baisse de nos allocations et, de plus, supprime toute possibilité de pouvoir cumuler l’allocation-chômage et un revenu d’activité. On s’enfonce dans l’exclusion totale et la misère !
Alors que l’Unedic annonce 1 million de chômeur-ses de plus fin d’année 2020 dont au moins dont 630 000 seraient indemnisé-e-s, la contre-réforme macroniste de 2019 suppose le coup de grâce pour l’ensemble des salarié-e-s intérimaires et autres travailleur-ses précaires.
Cette réforme nous n’en voulons pas ! La CGT exige son annulation !
Il est temps de se bouger et descendre dans la rue pour se battre contre cette contre-réforme destructrice et pour exiger le rétablissement et l’amélioration de nos droits !
LA CGT INTÉRIM appelle ses syndicats, sections, él-u-es, syndiqué-e-s et sympathisant-e-s à se mobiliser
le mardi 30 juin 2020 à 10h devant l’UNEDIC - 4, rue Traversière Paris 12ème-
Vous pouvez télécharger notre journal La Mèche n°52.
Nous sommes déjà dans le "monde d'après" et en pleine hécatombe sociale. On sort du confinement et les premiers dégâts se font déjà sentir. Plus de 600.000 salarié-e-s intérimaires jeté-e-s à la rue. Au chômage et pour un nombre important d'entre elles/eux, sans revenus.
Le Gouvernement reste droit dans ses bottes et il va falloir se mobiliser !
Alors que la vie semble reprendre, l’ampleur du désastre montre son vrai visage. Celui de la précarité et ses ravages.
Aux plus de 500.000 salarié-e-s intérimaires qui se sont retrouvé-e-s au chômage depuis la mi-mars et dont une partie d’entre elles/eux se retrouvent sans revenus pour survivre, s’ajoutent maintenant les annonces des fermetures de site de l’automobile.
Le couperet tombe et tombe chaque jour. Chez RENAULT, le donneur d’ordre s’apprête à fermer des usines et licencier des milliers de salarié-e-s. Mais il n’y a pas que dans l’automobile que les licenciements se préparent.
Partout, des entreprises dévoilent les plans de restructuration. Comme d’habitude, les premiers à en payer les frais ce sont les intérimaires qui ne pourront pas retourner au travail ainsi que les sous-traitants des grands sites industriels et autres secteurs d’activité.
Mais l’heure n’est pas à la résignation ! Le déconfinement en cours doit servir pour se réorganiser et lutter pour notre avenir et celui de nos enfants. Nous exigeons du travail bien payé, oui ! Mais nous exigeons aussi l’annulation de la réforme de l’assurance chômage qui nous a été imposée en 2019 et qui nous condamne à l’extrême pauvreté !
La seule voie possible pour s’en sortir : la solidarité et la lutte !
Avec la crise sanitaire liée au COVID-19, plus de 300.000 salarié.e.s intérimaires se sont retrouvé.e.s sans mission.
Actuellement au chômage, ils se retrouvent dans une grande précarité. Sans travail donc sans revenu, ils doivent faire face, en plus de la crise sanitaire, à une détresse financière importante.
Le FASTT (Fonds d’action sociale du travail temporaire) est un organisme paritaire de la branche de l’intérim au sein duquel la CGT participe activement. Pour accompagner les salarié.e.s qui sont en détresse, les conseillers du service social du FASTT sont mobilisés (conseils budgétaires, accompagnement administratif, aides sociales, hébergement d'urgence).
Toutes les informations vous les trouverez sur www.fastt.org ou en appelant le 01 71 25 08 28 (appel non surtaxé) Lundi au vendredi de 8h30 à 19h30